En mémoire
de…
Certain·es ont à cœur de ne pas oublier leur histoire migratoire et se mobilisent pour en faire reconnaître publiquement la mémoire.
Dans un parc, un cimetière, au détour d’une place, sur le mur d’un bâtiment, des plaques mémorielles, des stèles, souvent discrètes ou parfois imposantes, sont ainsi érigées.
Elles participent à la reconnaissance de ces histoires singulières mais aussi à leur ancrage dans la mémoire collective.